jeudi 31 mars 2011

"La Maison du Guet", Mary Higgins Clark


Je crois bien que depuis mon AVC, je n'ai jamais lu autant de livres! (en même temps, j'ai du temps maintenant!).
Bon, j'aime bien lire un roman de Mamy Mary Higgins Clark pour me vider la tête, il n'y a rien de tel. Pas besoin de réfléchir, on connait le coupable dès la troisième ligne en général et on nous décrit souvent la famille idéale sclérosée par un terrible secret.

Ce roman n'y échappe pas. Afin d'échapper à son passé, Nancy est venue vivre au Cape, une île avec son lot de touristes l'été et son peu d'habitants l'hiver. Elle a refait sa vie avec Ray, agent immobilier et a mis deux enfants au monde. Et voilà que les enfants disparaissent et que le passé de Nancy remonte à la surface.

Avec Higgins Clark, on échappe pas aux clichés, c'est ça qui est bien. Les enfants et femmes frêles sont toujours les victimes, et en général, les coupables sont soit noirs, soit très gros. Et c'est plein de bons sentiments (une des scènes finales, j'ai cru voir la publicité pour l'ami du petit déjeuner...).

Mais vous voulez que je vous dise? C'est pour cela que j'aime tant Mary Higgins Clark!

1 commentaire:

  1. Qu'est que j'en lisais à une époque.
    Beaucoup moins maintenant, mais j'ai une critique sur un de ses livres samedi

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